Le Temps D’Un Weekend Et Les Suites Imprévues.

LUI :

Vendredi soir. Je vais te chercher à la descente du T.G.V. qui arrive vers 19h00. Pour une fois le train est à l’heure! Ayant conversé et échangé des photos sur la toile, je te retrouve facilement dans la foule. Il est vrai que tu ne passes pas inaperçue. Alors que tu es déjà relativement grande et élancée, tu es perchée sur des cuissardes avec des talons qui font au moins dix cm. Ta démarche ondulante et lascive attire le regard des hommes.

Quant à moi, je suis totalement subjugué par ton allure générale! Jupe courte à mi cuisse, chemisier légèrement transparent qui laisse deviner ton soutien gorge, manteau de cuir ouvert, les pans retenus par la ceinture, tes longs cheveux châtains attachés en queue de cheval, tes beaux yeux gris illuminant ton doux visage ovale. Tu es resplendissante dans la plénitude de tes 40 ans. Tu portes un léger bagage dont je te débarrasse pour rejoindre la voiture. Nous avons encore une heure de route pour arriver chez moi.

Je t’enlace et nous échangeons un baiser profond comme deux amants qui se retrouvent après une longue séparation. Que c’est bon de te tenir dans mes bras, de sentir ton corps qui se colle au mien au point que je sens ta poitrine opulente dans l’ouverture de ton manteau.

Nous prenons la route et ton parfum envahit l’habitacle de la voiture. De temps à autre, mon regard court vers tes jambes gainées de cuir brillant et souple. Ta jupe est remontée et je pourrais, en me baissant un peu apercevoir ton string. Mais la route requiert toute mon attention. Ce n’est pas encore le moment de faire des folies.
Je laisse simplement glisser ma main droite jusqu’à l’ouverture de tes cuisses (merci la boite automatique). Tu ne la repousses pas, au contraire, tu refermes le compas de tes cuisses et tu emprisonnes ma main dans la douce chaleur de ton intimité.
Nous arrivons chez moi. Au cours de cette petite heure de trajet, nous avons parlé de ce qui fait notre vie quotidienne et nous avons aussi évoqué nos échanges sur la toile.

Oui ! Il y en a eu de chauds !

Traversant la salle de séjour, je te conduis vers la chambre pour que tu y déposes tes affaires et passes aussi dans la salle de bains attenante pour te rafraîchir après le voyage. Pendant ce temps là, je mets rapidement au four et finis de préparer ce que nous allons manger. Le dessert est au réfrigérateur. Tout en mangeant nous devisons gaiment mais, je ne sais pas ce qui se passe, l’un et l’autre nous ressentons comme une sensation d’urgence!
Oui, il y a urgence sans doute mais nous restons un petit moment à table, pour nous dévisager un peu plus l’un à l’autre. Achevé notre diner et, sans plus attendre, nous gagnons la chambre où le grand lit nous attend! Jusqu’ici tout s’est passé comme sur des roulettes, tellement le déclic entre nous est fort.

Nous nous enlaçons et tout en nous embrassant, nous nous déshabillons mutuellement. Tu es rapidement nue entre mes bras: tu ne portes plus que tes cuissardes avec des bas auto-fixant, ton string et ton soutien gorge dont je défais rapidement l’attache dans ton dos. J’ai en face de moi cette fabuleuse poitrine que j’ai déjà tant admirée lorsque l’été dernier nous nous sommes rencontrés une première fois à Perpignan quand je cherchais à acheter un studio en bord de mer. Coquine, tu devais savoir que dans tes atouts féminins, ta poitrine mise en valeur par un soutien gorge pigeonnant et un chemisier de soie devait immanquablement attirer le regard… et favoriser une éventuelle transaction…

Je la découvre enfin, nue !
Il me semble qu’elle se tend vers moi! Les tétons sont dardés comme s’ils avaient été sucés par une bouche invisible. De mon coté mon sexe encore emprisonné dans mon slip est dressé au point que le gland pointe son nez au dessus de la ceinture. Tu enlèves rapidement tes cuissardes, tes bas et ton string et tu me tends les bras :
- Enfin !



Depuis le temps que je te chauffe les sens par mes propos coquins lors de nos échanges de mails ou nos appels téléphoniques, nous sommes enfin l’un en face de l’autre et nous savons pourquoi nous sommes réunis.

Nous avons deux nuits et une journée à passer ensemble et nous allons passer tout ce temps à baiser comme des forcenés.
Tu as fait naître en moi un désir trop longtemps refoulé…
Je t’allonge sur le lit et tendant mes mains vers tes seins, je commence à les masser, à caresser les pointes que je fais rouler entre mes doigts. Ma bouche se porte à ton sexe où je découvre avec surprise ce joli bijou intime dont tu avais émis l’idée d’en porter un.
Çà y est ! C’est fait ! Tu m’avais caché que cela était réalisé.
J’ouvre tes lèvres intimes de ma langue, lentement je la fais aller et venir entre tes petites lèvres ourlées et suintantes de ton miel d’amour. De temps à autre, je pointe ma langue pour simuler une pénétration.
Pour l’un comme l’autre, cela ne suffit plus… ne suffit pas !
Tu ondules sous moi et bientôt je me place entre tes cuisses. D’un lent mouvement mon sexe pénètre le tien jusqu’à la garde et je m’immobilise pour savourer la sensation enivrante et douce.
Mes bras tendus sont de chaque côté de ton buste et j’admire toujours tes seins qui suivent les mouvements que j’imprime à nos corps pour te baiser.
De temps à autre tu vas en caresser les bouts pour augmenter tes sensations. Ta respiration haletante me rend encore plus chaud.
Mes mouvements s’accélèrent et tu ronronnes de plus en plus.
Ta chatte est inondée de mouille et c’est facilement que je te pénètre. Bientôt nous laissons éclater notre jouissance. Je m’étais tellement préparé mentalement à notre rencontre que je déverse une belle quantité de semence que j’avais préservée pour toi. C’est tellement bon de jouir ainsi dans un sexe accueillant, sans entrave (un test HIV récent nous le permettait).
Cela faisait longtemps que je n’avais pas éjaculé comme ça. Houlà! La joute a été rude! Je m’allonge entièrement sur toi, ma poitrine pressée contre tes seins, mon sexe fiché en toi garde sa raideur ultime, puis nous basculons sur le côté sans nous désunir.

Nous restons ainsi de longues minutes mais qui me semblent si courtes. Bientôt tu descends vers mon sexe et tu gobes mes couilles puis le gland.
Tu entames une lente succion dans ta bouche chaude. Tu agites ta langue pour titiller le frein et bien faire monter la bandaison.
Lorsque tu la trouves à ton goût, tu remontes vers moi non sans au passage placer ma bite entre tes jolis seins généreux où tu fais quelques va-et-vient. Finalement tu viens t’empaler en amazone sur mon sexe et tu commences une chevauchée sauvage.
Tu te déchaines et par d’incessants mouvements alternatifs tu fais monter notre jouissance. J’ai devant les yeux tes seins qui se balancent doucement et sur ton visage j’aperçois un sourire extatique. Tu dois savourer autant que moi cette copulation. Je sens tes muscles intimes masser ma verge fichée au fond de ton sexe! Humm ! Que c’est bon!
La délivrance commune est sur le point d’arriver, soudaine et violente. Je suis prêt à mélanger, encore une fois, mon foutre à ta cyprine lorsque ton portable sonne. Cette sonnerie me fait frémir, et je crains le pire.



Tu ne me demandes pas pourquoi mon regard interpelle le tien sans oser bouger un seul muscle pendant que tu prends ton portable et appuies sur « talk » pour parler. J’attends deux minutes qui me semblent une éternité et puis quand tu raccroches, ton sourire me détend au point de me permettre de parler… :
- C’était…?
- Non ! C’était ma mère, donc fausse alarme !
Tu me réponds un sèchement, avant de partir aux toilettes.
Lorsque tu reviens, remise de la surprise téléphonique, je n’ai pas encore débandé : Ma bite est toujours dressée comme le mat d’un bateau. Après avoir déposé quelques léchouilles sur le gland, d’un mouvement souple tu reviens me chevaucher. Tu allonges ton buste sur le mien. Tes seins généreux et doux sont pressés contre moi.
J’entreprends des mouvements de plus en plus rapides dans ta chatte en ondulant du bassin et, une fois encore, je mélange généreusement mon foutre à ta cyprine au moment où la jouissance te foudroie.
Tu t’allonges sur moi en blottissant ta tête au creux de mon épaule. Tu murmures doucement :
- C’est bon ça… J’aimerais bien pouvoir vivre cela au grand jour…
- Mais tu sais qu’on ne peut pas…tu sais… je suis mariée…
- Ouais…



Je ne trouve pas les mots justes pour continuer notre conversation. Moi aussi j’en ai marre de me cacher cette relation naissante, mais qui hélas ne nous conduira pas bien loin. Libre de toute attache, j’ai quand même près de 20 ans de plus… Nous nous couvrons avec le drap et, encore l’un dans l’autre, nous sombrons dans un sommeil réparateur.
Le lendemain, nous nous réveillons pratiquement dans la même position, dans les bras l’un de l’autre, ton corps pressé contre le mien, nos jambes emmêlées. Je bande à moitié. Est-ce le désir que j’ai de toi qui se manifeste à nouveau ? Oui, je le crois et tu le sens, mais tu te fais un peu prier cette fois-ci :
- Humm ! Que c’est tentant !
Tu te frottes contre moi et ta main droite part à la rencontre de mon sexe. Tu commences à le masser ainsi que mes couilles qui sont toutes dures. Il y a encore de la réserve… De mon côté, je pars en reconnaissance vers ton sexe, rose et délicieux.
Il est tout trempé !
J’en écarte délicatement les lèvres et commence ma caresse sur ton clitoris très délicatement. J’ai un peu peur de te faire mal avec ces anneaux qui passent au travers de tes lèvres intimes. J’alterne des petits mouvements de va-et-vient avec d’autres plus circulaires. Tu gémis à mi-voix presque en ronronnant.
Mon plaisir est si fort que je contrôle plus mes baisers. Alors tout en continuant de te masturber, je t’embrasse les lobes des oreilles que tu m’offres volontiers, puis, je m’attarde quelques instants dans ton cou et enfin sur tes épaules. Je suis au bord de l’explosion. Après tes épaules je descends vers ta poitrine dont les tétons saillent très fort.

Nos corps bougent en sorte que le tien se met en levrette et le mien dessus comme en te couvrant dans cette pose animale. Je ne peux pas supporter ce supplice provoqué par tes fesses bombées, légèrement écartées au milieu, laissant voir un bout de chatte rose et lubrifié. Je fonce :
- Oh ! Oui ! Oui !
De toi même tu prends la position en mettant tes mains sur la tête de lit. Tu offres ta croupe à mes regards. Que tu es cambrée et que tes globes fessiers sont ronds et généreux, autant que tes seins. Humm, que c’est agréable à contempler.
Je me place derrière toi et d’une poussée lente et continue, je prends possession de ta minette qui m’attend. Dans un miroir à côté du lit je vois tes seins balloter sous toi. C’est excitant au possible d’associer mes sensations à la vision de tes beaux seins qui se balancent sous mes assauts.
J’ai placé mes mains de chaque côté de ta taille pour maintenir mon équilibre. J’accentue mon va-et-vient, mon ventre claque de plus en plus vite contre tes fesses dont la raie s’ouvre à chaque fois et me dévoile ton anus plissé. D’un doigt inquisiteur je vais le chatouiller. Tu ronronnes et ondule de la croupe. Notre plaisir monte et finit par éclater à nouveau. Nous nous affalons sur le lit, sur le côté nous récupérons notre souffle.
Après un rapide petit déjeuner, nous rêvons d’aller nous balader un peu dans la ville voisine comme deux amoureux en profitant du soleil de l’été indien. Nous hésitons… Si pour moi, libre de toute attache, il n’est pas prudent de nous montrer l’un à coté de l’autre dans un contexte si… compromettant.
Pour éviter de tomber dans la même discussion stérile sur notre avenir je change de sujet et propose d’y aller en voiture, sans en sortir. Tu te montres d’accord quoique avec des réserves. Tout en bavardant et en échangeant des propos badins sur l’ambiance estivale de la côte languedocienne et notre rencontre dans l’agence immobilière où nous nous sommes vus pour la première fois, hélas sans rien faire ensemble (alors que nous étions semble t’il irrésistiblement attirés l’un vers l’autre), nos coquineries sur le chat et les heures que nous venons de vivre. Pendant que la voiture roule je te convaincs d’ouvrir les vitres pour laisser entrer le soleil.
En cette fin d’automne et sous le soleil, je te trouve belle ! Et je suis heureux de faire découvrir la région avec ses forêts plein de feuillages déjà mordorés à une femme charmante et sexy. Comme hier soir, je laisse glisser ma main droite de temps à autre entre tes cuisses pour te chatouiller la chatte. Tu n’as qu’un mini string ma belle coquine. Je sens la chaleur et la douceur humide au travers du fin tissu. Voilà on a trouvé un amusement seulement possible dans notre voiture, les attouchements coquins.
Peu avant 19 heures nous arrivons à la maison. Enfin nous pouvons nous étreindre à l’abri des regards des gens honnêtes. Par-dessus nos vêtements nous nous caressons mutuellement. Je remonte ta jupe courte et je glisse ma main droite dans la raie de tes fesses, écartant la ficelle du string.
De ton côté, d’une main, tu as réussi à ouvrir le zip de mon pantalon et tu caresses mon sexe par-dessus le slip et de l’autre tu t’es faufilée sous ma chemise pour venir agacer mes tétons du bout de tes ongles. J’aime ! Et je bande à nouveau. Tu te dégages de mes bras et me dis :
- Mets-toi au lit, je dois passer à la salle de bain mais j’arrive tout de suite.
Je me déshabille rapidement et je me glisse sous le drap où, totalement nue, tu me rejoins rapidement.
Nous recommençons nos caresses et nos embrassades.
Nos sens s’échauffent.
Mon sexe est comme un pic qui se tend vers toi qui, te plaçant à genoux, le buste allongé entre tes bras.
Je ne me fais pas prier. Je viens derrière toi et, oh, surprise, je découvre que tu as mis du gel dans l’entre fesse et dans ton anus.
L’invitation est on ne peut plus claire et même si je ne suis pas un adepte de la sodomie, je sais répondre à une envie si aimablement proposée !
Je bande comme un cerf.
Je me couvre rapidement et je travaille un peu ton trou plissé en faisant coulisser un doigt bien profond. Cela achève de nous échauffer.
Je retire mon doigt et, d’une poussée prudente je pénètre l’entrée interdite.
Elle s’ouvre si facilement que je sens que tu es préparée à cette pénétration.
J’y glisse mon pénis très doucement. Que c’est bon. Mon sceptre de chair coulisse facilement dans ton antre serré. C’est chaud et je ne tarde pas à venir. Toi non plus, tu ne tardes pas à jouir. Nos mouvements désordonnés au moment de l’embrasement nous ont désunis et une dernière giclée de sperme finit au bas de tes reins dès que j’ai retiré le préservatif. Tu viens en récupérer une partie avec ta main et la porte à ta bouche pour me gouter.
Il est largement 6 heures du matin lorsque le lendemain nous nous réveillons. Nous avons dormi comme des bienheureux, rassasiés de sexe et des sensations qui vont avec.
Malheureusement, il nous reste à peine plus de trois heures à passer ensemble. Je dois te reconduire à la gare pour 9 h 30 au plus tard. Nous n’avons pas trop de temps, mais nous prenons celui de passer ensemble sous la douche. On y tient facilement à deux.
Après un rapide petit déjeuner copieux (nous avons sauté un repas), nous reprenons la route vers la gare. Tout le long du chemin, nous bavardons joyeusement quand soudain, tu te tais. Je te demande :
- Quelque chose ne va pas ?
- C’est tu sais qui… je trouve qu’il se doute de quelque chose au sujet de ma vie et n’arrête pas de m’appeler les weekends ! Je me sens surveillée ! C’est pesant et en même temps c’est normal… car à la fin… tout cela… ne devrait pas avoir lieu. Je ne suis quand même pas une pute… juste une femme qui se fait payer pour donner du plaisir !
Je comprends… je savais que cette rencontre, si bonne soit-elle, me coûterait pas mal d’argent…
En te quittant au moment de monter dans le train, je te dis :
- Et si je descendais vers Perpignan ? On pourrait se cacher aussi et tu serais toujours près de lui au cas où…
- Pas question !



ELLE :

Il est presque 23 heures quand ce vendredi soir je t’accueille à la gare de Perpignan où je suis venue t’attendre. Quelques mois se sont écoulés depuis le weekend passé avec toi en Lorraine et depuis, nous avons bavardé sur l’ordinateur à plusieurs reprises.

Nous nous sommes promis un weekend bien chaud et coquin…
Je te laisse prendre le volant et je m’installe près de moi à l’avant de la voiture.
Un quart d’heure plus tard, nous arrivons à la maison vide d’une amie qui est un peu en retrait de la route. C’est un nid discret, entouré d’une haie de cyprès et de lauriers rose où il fait bon vivre et qu’elle me prête assez souvent. Je te guide vers la chambre mais j’ai le secret espoir qu’elle ne servira pas beaucoup. Je préfère nettement la grande pièce à vivre située sous le toit pour ce que j’envisage.
Cette grande pièce est meublée essentiellement de divans profonds et de fauteuils confortables disposés en fer à cheval devant une grande cheminée. Partout il y a d’épais tapis et de nombreux coussins de formes et de tailles diverses. Un grand écran plat de télévision occupe une partie du mur à côté de la cheminée.
Cette pièce est très agréable. L’été elle est climatisée et en hiver comme en ce moment, elle est facilement réchauffée par la cheminée. Ça me fait rêver. Je voudrais tant avoir le même genre de pièce chez moi ! Peu à peu je te fais découvrir la maison pour finir à l’étage où j’ai préparé un verre de bienvenue : un planteur bien corsé, cela va nous mettre en forme. J’aime beaucoup ce breuvage dont j’ai ramené la recette et les ingrédients d’un séjour en Martinique cet hiver.
Avant d’aller à la gare, je me suis changée. Je porte un chemisier en soie ivoire largement échancré (les deux boutons du haut ne sont pas fermés) et mes seins sont libres. J’aime beaucoup le contact de mes tétons et de la soie plutôt fraiche. Ma jupe arrivant à la moitié du mollet est largement fendue sur un côté. Quand je m’assois, elle s’ouvre largement et dans un des miroirs, je vois que la bande de dentelle de mes bas est apparente ! En dessous, je porte un string très réduit et un serre taille qui maintient les bas. Mes cheveux châtains sont noués en queue de cheval et je suis chaussée de mules à hauts talons.
Je sais que cette tenue plait beaucoup !
Nous bavardons ainsi une bonne vingtaine de minutes. Je profite pour te mater dans le miroir qui se dresse sur l’un des murs, toi, un grand gaillard de bientôt 60 ans, brun aux cheveux gris déjà clairsemés et à la carrure d’athlète. Appuyé contre le dossier du fauteuil dans lequel je suis installée, tu glisses tes mains dans mon corsage pour aller caresser les pointes de mes seins puis, achevant de défaire les derniers boutons, tu le fais glisser pour l’enlever. Ma poitrine opulente, légèrement plongeante de femme dans la plénitude de ses 40 ans, s’offre généreusement à ta vue. Je sais bien que tu es amateur de ce genre de poitrine sensible aux caresses et stimulations diverses.
J’aime bien aussi en fin de baise prendre un sexe sur le point d’exploser entre mes seins et en quelques mouvements de va-et-vient, recevoir une abondante giclée de sperme sur le bas du visage ou sur le haut de ma poitrine. Ce liquide chaud et visqueux me fait fantasmer au plus haut point… Je rêve encore un petit instant et tu me demandes :
- T’as peur de lui ?
- De qui… ah… de… lui, non je n’ai pas peur… T’en fais pas il ne se douterait jamais qu’on est là, si près de lui…
Tu reprends les caresses sur mes seins et t’agenouilles devant moi.
Tu relèves les pans de ma jupe et plonges dans la fourche de mes cuisses où je sens ton souffle chaud sur ma vulve. Je soulève mes fesses pour que tu fasses glisser mon string et redécouvres mon abricot tout lisse avec ses deux anneaux dorés. Je sens aussi les poils de ta barbe qui irritent doucement la bande de peau au dessus de mes bas.
Je sens ta langue qui fouille les replis de l’entrée des délices en jouant avec mes petits anneaux et fait rouler mon clitoris entre tes lèvres puis le mordilles doucement. J’en frémis des pieds à la tête. Ensuite, complètement excité, tu fais glisser ma jupe. Je n’ai plus que mes bas et le serre taille sur moi. De nouveau un coup de cœur m’assaille et te dis :
- Tu n’as pas de remords toi ?
- Moi…je ne sais pas… Je suis libre ! J’essaye de ne pas y penser.
Puis tu me prends par la main et m’allonges sur une table basse rembourrée tout exprès. Ta bouche ne cesse de mordiller mes seins, en aspirant mes tétons qui, sortis de l’aréole, sont déjà gros comme un pois chiche. Waouh ! Que c’est bon cette caresse.
Tu ne portes qu’un pantalon ample, un boxer et un pull fin que tu enlèves très vite après ça. Ensuite, excité par la vue de mon corps offert et des caresses qui lui sont prodiguées, tu restes debout, ton pénis palpitant m’invitant à la débauche totale. Je me relève et m’agenouille sur le tapis.
Tu ne te fais pas prier et t’approches un peu plus de moi. Je prends en bouche ton sexe d’une belle taille, court mais trapu et l’enfourne le plus loin possible pour l’enduire de salive. Ensuite, je le masturbe de la main avant de le reprendre en bouche. Ah vraiment, je peux sans aucune difficulté l’avaler entièrement dans une gorge profonde où ton pubis vient se coller à ma bouche.
J’alterne entre léchage de gland et gorges profondes, laissant tomber un océan de salive et tu aimes bien ça. Quant à moi, j’ai la chatte qui ruisselle déjà tant je suis excitée. Le feu à l’entrejambe est impossible à supporter. Je m’allonge sur le dos, les jambes levées en « V » et te dis de venir me prendre la chatte ! J’ai envie que tu commences sans me laisser une seconde libre, car mes pensées me ramènent toujours le grand absent, celui dont on ne veut pas parler.
Tu me prends sans plus attendre et me pistonnes vigoureusement la chatte, allant bien au fond à chaque fois, me tirant des soupirs d’aise. Nous atteignons bientôt le point de non retour. Je suis tellement sensible que je suis la première à partir.
A quelques instants d’intervalle, tu sors de ma chatte pour vider ta sève sur mes seins. Sans rien se dire, on a eu la même idée. J’étale ton sperme gouteux sur mes seins et les masse avec. Tu ne décolles pas ton regard de mon corps tout couvert de ton lait…
Après une nuit paisible, tu as récupéré des forces. Je suis déjà levée depuis quelques temps : Le petit déjeuner est servi sur la table ronde de la cuisine et, alors que je devrais être heureuse, je suis là, le visage un peu triste et le regard perdu et tu me demandes :
- Qu’est-ce qui t’arrive mon loup ?
Je laisse tomber en m’asseyant sur tes genoux et caressant tes cheveux :
- Mon frère vient d’appeler…
- Et alors ?…
- Rien, il voulait tout juste me dire bonjour, depuis le temps qu’on ne se parlait plus…
Et tu prononces ces mots avec légèreté comme pour essayer de te convaincre toi-même que c’est un fait insignifiant :
- Dis-moi pourquoi vous êtes restés aussi longtemps sans vous parler ! Quel est ce secret qui vous sépare ?
- C’est assez banal en fait, cela arrive parfois dans la vie.
- Mais encore ?
- Cela remonte à quelques années. Mon frère et sa femme sont venus passer des vacances à Cannet en Roussillon. Là, il a rencontré une femme. Ce devait être une aventure sans lendemain mais, dés son retour en Lorraine, il a demandé le divorce, laissé sa femme pour revenir dans la région.
- Et alors ? Comme tu le dis, ça arrive !
- Et bien je vais te surprendre ! Je me suis renseignée : mon mari, c’est ton frère ainé !
Bien sur, je tombais des nues :
- Alors c’est ça ! Je me disais bien qu’il avait un secret. Il m’a dit être divorcé et être originaire de l’est de la France sans plus de précision. Jamais il ne parlait de sa famille ou de ce qu’il avait fait avant.
Puis, j’ai expliqué que chaque fois que mes affaires m’appelaient dans l’est de la France, mon mari était particulièrement inquiet et soupçonneux. Avant et après le voyage, il posait plein de questions : Qui je devais rencontrer, sur quel dossier je travaillais, bref tout ce qu’un mari jaloux peut demander.
Bien sur, lors de notre weekend à l’automne dernier, j’ai du inventer des choses pour justifier mon déplacement sur le weekend. En fait, tu le sais, je travaille dans l’immobilier et j’ai profité d’un séminaire de deux jours à Paris où je m’étais inscrite sans y participer. Une amie complice (celle qui nous prête la maison) m’avait rassemblé la documentation et me l’avait remise à mon retour.
Après toutes ces explications, je n’avais plus guère d’entrain. Ce n’était pas la première fois que j’avais des aventures similaires après avoir rencontré quelqu’un sur la toile. Mais là, je m’étais mise moi-même dans le pétrin : je m’étais laissée draguer sur internet par le frère de mon mari et je n’avais rien su jusqu’à ce soir du lien qui unissait les deux hommes. J’étais tombée dans un piège auquel mes habitudes libertines clandestines ne m’avaient pas préparées.
Heureusement, tu as su me dérider en me racontant plein de blagues et en me câlinant doucement. J’étais véritablement désemparée.
Même en étant libertine et ayant de gros besoins sexuels, j’aime mon mari qui a su en quelques années me donner une certaine stabilité.
C’est grâce à lui que j’ai pu progresser dans mon milieu professionnel très machiste.
Et toi, en deux rencontres, tu as su me combler au-delà de ce que j’aurais pu attendre d’une aventure comme celle que nous vivons.
Je suis toujours sur tes genoux dans la cuisine de la maison de mon amie et complice. Il y a bien longtemps que le p’tit déj’ est terminé. Sous mes fesses, je sens une bosse qui grossit. C’est vrai que nous sommes très légèrement vêtus : toi un T-shirt et un boxer, moi, une nuisette un peu opaque et un string.
Une de tes mains court le long de mon dos, vers le bas, toujours plus bas et l’autre frôle doucement la rondeur souple de mes seins. Je sens que tu as envie de moi et moi, j’ai cette sensation de poids derrière mon pubis qui arrive lorsque j’ai besoin de faire l’amour. Je me lève :
- Viens ! Montons à l’étage !
Et tu m’entraines en me tenant par la main jusqu’à large divan où nous nous allongeons sur le côté, face à face. Tu me prends dans tes bras. Tu caresses mes cheveux défaits. Tu embrasses mes lèvres, le côté de mon cou, les lobes de mes oreilles en une multitude de petits baisers qui sont plus des effleurements.
Nous avons envie l’un de l’autre, cela se sent mais cette douceur dans laquelle tu m’enveloppes devient pour moi une sorte de béatitude sereine où je me sens bien. Je réponds désormais à tes caresses et baisers.
Par-dessus le T-shirt je griffe les bourgeons de tes seins d’une main et de l’autre, je descends vers ton pubis où je me plais à jouer avec ton pénis qui bande dur. Je l’englobe de ma main et après quelques va-et-vient, je fais glisser ton boxer puis mon string.
La chaleur monte et ma libido bat à son plein, mon cœur palpite si vite que j’ai l’impression d’avoir un moteur de locomotive dans ma poitrine qui n’a rien à voir avec ta douceur et ta maitrise de toi-même, je ne te reconnais plus…mais j’aime bien cette facette de ta personnalité, sensuelle et douce à la fois.
Je me mets sur le dos, les cuisses légèrement ouvertes. Tu viens te mettre au dessus de moi. Tu m’embrasses langoureusement mêlant ta langue à la mienne dans ma bouche en même temps que ton sexe pénètre le mien. C’est une étreinte douce, pleine de tendresse qui nous unit. Ma main droite passée derrière ton cou, je prolonge ce baiser initial. Nos langues se livrent une joute humide, tantôt dans ma bouche, tantôt dans la tienne. Jusqu’à maintenant, tu n’as pas encore fait un seul mouvement dans mon sexe. Cependant, bientôt d’un mouvement lent de tout ton corps qui se fait léger sur le mien, tu commences le va-et-vient dans cette chatte humide et chaude que tu remplis bien. Et cela dure… longtemps. Tu prends ton temps, attentif à mes réactions, faisant monter et refluer mes sensations de plaisir alors que tu retiens le tien.
Mais bientôt, nous n’en pouvons plus d’attendre la délivrance. Je te dis de te libérer. Tu accélères tes mouvements, entrant et sortant totalement de mon vagin pour mieux y replonger. La jouissance déferle en nous, violente et douce à la fois. Je sens les jets de ton sperme qui viennent frapper le fond de mon sexe. Que c’est bon!
Tu restes en moi et nous basculons sur le côté, dans la même position qu’au début. L’un comme l’autre, nous nous taisons.
Nous savourons ces instants qui suivent une étreinte amoureuse et tendre. Et tu continues de me bercer comme un jeune à consoler.
En début d’après midi après être passés sous la douche, nous prenons un repas frugal à base de viandes froides et de fruits. D’un commun accord, nous décidons d’écourter notre weekend.
C’est le cœur plein de tristesse et de doute que je te reconduis à la gare.
Tu ignores quel train tu vas prendre, mais tu me dis que ce n’est pas grave.
Avant que tu me quittes dans la voiture, tu me dis que tu vas rappeler ton frère comme s’il t’avait joint en Lorraine. Si de son côté il souhaite une réconciliation...



LUI :

Mon départ prématuré de Perpignan après avoir annoncé à Cristelle que j’avais découvert que son mari était aussi mon frère ainé, ce frère dont la famille n’avait plus de nouvelles depuis plusieurs années, s’est fait dans la tristesse et l’inquiétude. Comment allions nous nous dépêtrer de cette situation maintenant que nous savions et qu’en plus mon frère avait des velléités de reprendre le contact avec ses parents et ses frère et sœurs ?
A mon retour, j’ai prévenu tout le monde que Stan m’avait téléphoné récemment et qu’il souhaitait reprendre contact avec sa famille. Je dois avouer que les réactions à cette annonce ont été assez mitigées. Mes parents étaient très heureux. Mes sœurs par contre sont montrées très réservées. Il est vrai qu’elles étaient très proches de Valérie, l’ex de mon frère. Elles le sont d’ailleurs toujours.
Au bout de quelques jours, j’ai rappelé mon frère à son bureau et je lui ai indiqué quelles avaient été les réactions des uns et des autres. Il n’a pas été étonné de celles de nos sœurs. Je lui ai dit aussi que personnellement, j’avais très envie de renouer avec lui, que cette brouille n’était pas une bonne chose.

C’est alors qu’il m’a proposé une chose incroyable ! Dans quelques semaines, il y avait un weekend prolongé et il m’a invité à venir le passer à Perpignan :
- Tu verras, tu feras connaissance avec Cristelle. En plus, nous avons toujours été très proches, je préfère te rencontrer en premier. Renouer avec les parents et mes sœurs, c’est trop tôt.
- Ok ! Je réserve une place dans un avion et une voiture à l’arrivée. Je te tiens au courant.
Les jours qui me séparent de ce weekend se sont passés dans une ambiance fébrile et un peu irréelle. J’ai prévenu Christelle de ce qui se prépare. Elle m’a dit qu’elle le savait. Elle est heureuse et inquiète de me revoir. Saurons-nous jouer la comédie alors que nous avons déjà partagé des moments ultra chauds ?


Quand je débarque de l’avion ce vendredi soir, je me rends immédiatement au comptoir des loueurs de voitures. Là, quelle n’est pas ma surprise de découvrir Cristelle en compagnie d’une autre jeune femme qu’elle me présente comme étant l’amie qui lui avait prêté sa maison. Cette dernière, Noelia, est une grande rousse d’environ 35 ans, au visage mince illuminé par des yeux marron rieurs et constellé de taches de rousseur et des cheveux coupé courts. Elle me dit :
- Viens ! Tu seras mon chevalier servant pendant le weekend. Comme cela Stan n’y verra que du feu !
Elle est donc informée de la situation. Je suis un peu soulagé mais reste quand même préoccupé. Je décommande ma voiture quand Cristelle m’explique que Stan est sur la route entre Bordeaux et Perpignan mais, par peur d’arriver trop tard à l’aéroport, il lui a demandé de venir m’y chercher. Nous nous retrouverons donc à la maison.
Après une petite demi-heure de route nous arrivons devant la villa de Stan et Cristelle. C’est une construction récente située au milieu d’un petit parc entouré d’une haie vive pas encore bien fournie. C’est la banlieue riche de la ville, à mi chemin du centre et des plages.
Au moment où nous descendons de voiture, Stan arrive aussi. Je retrouve ce grand gaillard auquel je ressemble beaucoup. Les effusions des retrouvailles avec les embrassades et claques dans le dos durent un certain temps. Nous sommes tous les deux heureux de nous trouver réunis.
En moi-même je me dis que s’il n’avait pas coupé les ponts de cette manière idiote, cela aurait été bien mieux pour toute la famille, mais ce qui est fait…
Nous entrons tous les quatre dans la maison que nous traversons pour gagner la terrasse située à l’arrière où nous prenons le pot des retrouvailles.
Les deux femmes papotent dans leur coin. Stan et moi, nous parlons en toute franchise de ces dernières années pendant qu’il met le barbecue en route. L’argent retiré de la vente de la maison lors du divorce lui a permis de créer une entreprise qui s’avère être assez florissante après deux années d’existence. C’est vrai que l’informatique est un secteur porteur…
Je lui donne des nouvelles de la famille et il m’interroge sur Valérie, son ex. mais d’elle je n’ai aucune nouvelle à lui donner. Seules mes sœurs sont en contact avec elle.
Au cours du repas et de la soirée, nous continuons à bavarder ainsi. De temps à autre, je vois Cristelle me lancer des regards discrets dans lesquels je distingue une lueur d’inquiétude.
Rien dans son attitude ne peut laisser supposer que nous nous connaissons déjà.
En plus, elle est habillée d’une manière tout à fait classique, rien de provoquant qui mette en avant sa féminité ravageuse lorsqu’elle s’habille sexy.
A un moment où je suis seul avec Noelia, elle me dit qu’elle est au courant de tout et que si je veux, elle fera tout ce qui est son possible pour nous sortir tous les trois de cette situation pour le moins embarrassante.
- D’accord ! Je ne veux pas mettre Cristelle dans une position difficile vis-à-vis de Stan.
- Alors jouons le jeu ! Fais-moi la cour ! Stan ne se doutera de rien et Cristelle est d’accord avec moi. Nous en avons parlé sur la route de l’aéroport.
C’est ainsi que je commence à flirter outrageusement avec Noelia. Soudain celle-ci propose d’aller jusqu’à la plage de Cannet pour nous balader après le diner. Il fait déjà beau et chaud, ce devrait être agréable. Mais Stan décline cette proposition :
- Non merci, j’ai déjà fait pas mal de route aujourd’hui et je ne souhaite pas aller me mêler à la foule. Par contre, si tu es d’accord, j’irais bien piquer une tête dans ta piscine.
Nous voila partis tous les quatre à pied jusqu’à la maison de Noelia distante de quelques centaines de mètres. Après avoir longé une rue, nous entrons dans un chemin empierré au milieu des vignes au bout duquel se dresse une bâtisse avec des dépendances importantes. Stan et Christelle nous précèdent. Mon frère a posé sa main droite sur la hanche de Cristelle et ils ont réglé leurs pas.
Quand à moi, j’ai le bras gauche de Noelia passé sous le mien et je sens contre moi la douce rondeur d’un sein.
Elle m’explique que c’est la maison familiale dont elle a hérité au décès de ses parents viticulteurs. Elle a vendu les vignes et conservé autour de la maison un vaste terrain qu’elle veut aménager en même temps que les dépendances qui seront transformées en chambres d’hôtes au cours des mois à venir.
La nuit est tombée depuis longtemps et c’est à la lumière des projecteurs que nous découvrons la piscine, terminée depuis quelques semaines seulement. Nous contournons la maison et dans un abri, nous avons tout ce qu’il faut pour nous baigner tranquillement, y compris une cabine de douche. Je trouve un maillot à ma taille. Le temps de me changer, Stan et Cristelle sont déjà dans l’eau limpide.
Quand Noelia sort en maillot de bain, j’achève de la découvrir. Grande, environ 1.m75, elle a une taille mince, des hanches bien galbées et une cambrure prononcée. Sa poitrine est relativement menue (rien à voir avec celle de Cristelle) avec des seins pyriformes masqués par les bonnets du maillot. Sa peau est légèrement ambrée avec de nombreuses éphélides : En somme, elle aussi, une belle femme dans la plénitude de la trentaine.
Par rapport à la température extérieure, l’eau est très agréable tiédie grâce à des panneaux solaires. Après avoir fait plusieurs longueurs de bassin côte-à-côte Stan et Christelle soufflent un peu au bord du bassin tout en bavardant. Je ne sais ce qu’ils se disent car Noelia m’a entrepris sur les marches à l’autre extrémité. Elle se frotte à moi comme une chatte en chaleur, achevant de me faire bander comme un taureau en rut en massant ma bite sous l’eau :
- Viens, rentrons, nous serons mieux.
Nous sortons de l’eau et elle me guide jusqu’à l’étage en me précédant dans les escaliers. Nous débouchons dans cette grande pièce à vivre aménagée sous le toit que je connais déjà. Cette grande pièce aux poutres apparentes est meublée essentiellement de divans profonds et de fauteuils confortables disposés en fer à cheval devant une grande cheminée. Partout il y a d’épais tapis et de nombreux coussins de formes et de tailles diverses. Un grand écran plat de télévision occupe désormais une partie du mur à côté de la cheminée.
Noelia m’explique qu’elle y passe pas mal de ses loisirs lorsque le temps l’incite à s’y réfugier. Mais cela, elle dit que je le savais déjà…
Elle fait sauter l’agrafe du soutien gorge et fait glisser la culotte de son maillot et s’agenouille devant moi pour descendre mon slip de bain. Depuis que je suis sorti de l’eau, je n’ai pas débandé aussi ma bite se détend comme un ressort à la hauteur des lèvres de Noelia qui la prend aussitôt en bouche pour l’enduire de salive. Elle sait qu’elle n’a guère besoin de m’exciter par sa fellation :
- Viens !
Elle s’allonge sur un des divans. Sitôt dit, sitôt fait. Je me place entre ses cuisses et d’une longue poussée, je m’introduis dans sa chatte qui est toute humide et chaude. Je savoure en restant immobile quelques instants puis je commence un lent va-et-vient qui fait monter notre plaisir. Noelia roucoule doucement en disant que c’est bon de baiser ainsi. Bref, elle est assez bruyante au point que nous sommes surpris :
- Alors les coquins, on s’esquive, ils y vont droit sans nous attendre !
C’est la voix de Stan qui s’adresse à nous depuis le haut des escaliers la main passée autour de la taille de Cristelle qui est à ses côtés. Puis tous les deux s’approchent de nous et s’enlacent pour échanger baisers et caresses avant de s’affaler nus sur un autre divan, bras et jambes emmêlés. Ils sont dans une position assez semblable à celle que Noelia et moi avons prise : la position du missionnaire classique.
Nous baisons ainsi côte-à-côte. De temps à autre, les deux femmes se regardent en souriant, certainement contentes de la tournure prise par les événements. De mon côté, je fais tout pour satisfaire ma partenaire dont le plaisir monte crescendo pour éclater au moment où je déverse une copieuse giclée de sperme au fond de son sexe. Noelia qui s’exclame :
- Waouh ! Qu’est ce que c’était bon ! Reste en moi. J’ai encore envie de te sentir.
C’est vrai que je bande encore ! Est-ce le fait d’avoir baisé tous les quatre sans nous mélanger ?
Le weekend se déroule comme dans un rêve et en fin d’après midi le lundi, je reprends l’avion, content d’avoir réussi à écarter les soupçons de Stan dans ma relation clandestine avec ma belle sœur mais aussi d’avoir rencontré l’amie de Cristelle, cette rousse au tempérament de feu.



Voila comment s’est terminée mon aventure avec Cristell

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